Activists dismantle Ukraine’s biggest monument to Lenin at a rally in the eastern city of Kharkiv on Sept. 28, 2014. Photo: Igor Chekachkov/Associated Press
Wall Street Journal reports that Ukrainian people are somewhat baffled by a new law banning the use of Soviet (and Nazi) symbols.
“Now what will I tell her? That they took Uncle Lenin and smashed him to pieces?” she asked.”
Isn’t it rather strange that the nephews of those who survived the 1921 Famine still harbor any respect for the likes of Lenin?
http://www.wsj.com/articles/ukraine-tries-adapting-to-life-without-lenin-1432324644
https://www.icrc.org/eng/resources/documents/article/other/5rfhjy.htmhttp://www.globalsecurity.org/military/world/russia/famine-1919.htm
the 1921 famine did not affect ukraine
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“Un homme dirige cette première action de secours en temps de paix: le Norvégien Fridtjof Nansen.
« En route pour la cuisine de la Croix-Rouge ukrainienne, j’ai pu voir plusieurs cadavres gisant sur les trottoirs. Le peuple n’ayant pas de moyen de faire enterrer ses morts les dépose souvent pendant la nuit sur les trottoirs et, comme le service communal est très mal organisé, les cadavres restent ainsi trois à quatre jours. Tout près de la cuisine de la CRU [Croix-Rouge ukrainienne], j’ai pu voir le corps d’une fillette à moitié dévoré par les chiens. La foule absolument indifférente passait à côté… » La scène a lieu à Odessa en avril 1922. Elle est décrite dans un compte rendu par le délégué du CICR Georges Dessonnaz en mission en Ukraine depuis deux mois. La république, fédérée de force à l’Union soviétique après trois ans et demi d’une guerre civile qui a suivi la révolution bolchevique et la Première Guerre mondiale, est sur les genoux. Ses paysans, menacés par les réquisitions de l’Armée rouge et les impôts en nature, ne labourent que le strict nécessaire.
A cela s’est ajoutée une année 1921 de sécheresse sans précédent. La disette qui sévit depuis la fin de la guerre dans certaines régions se transforme en famine totale qui ravage, outre l’Ukraine, le fertile bassin de la Volga, en Russie, la Crimée et la Géorgie: quelque 32 millions de personnes sont condamnées à mourir de faim*. La région subit une famine comme on n’en a plus connu depuis le XVIe siècle. Des milliers de villages sont abandonnés par leurs habitants errant sur les routes et les voies de chemins de fer à la recherche de pain.”
https://www.icrc.org/fre/resources/documents/misc/5qkjlh.htm
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